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#222 – Le Mou de Pleure, pas le bois

Future remise du ruisseau dans son thalweg d'origine

Les opérations préparatoires de coupes d’arbres sélectives sur le Mou de Pleure ont été réalisées début octobre pour s’adapter aux périodes sensibles avifaune et chiroptères. Elles ont permis de créer des accès et de stocker les produits de coupe qui constitueront les ouvrages bois.

L’avis du CEN BFC et du CPIE Bresse du Jura (N2000) a été pris en compte et les coupes ajustées sur place, de manière à préserver un maximum d’arbres morts et/ou remarquables. Un bel effort a aussi été fourni par les entreprises Tchassagne et Bonnot pour adapter les techniques au contexte humide et ne pas abîmer les sols, notamment avec des engins légers et sur chenilles.

Rendez-vous en juillet 2026 pour la suite des travaux !

Arbres morts sur pied conservés pour préserver leurs intérêts pour la faune xylophage, les chiroptères

Futurs tronc-souches qui seront positionnés dans le ruisseau pour diversifier le milieu, favoriser les débordements et créer un support de l’habitat

#221- Préserver la basse Bourne

La semaine dernière, notre équipe est intervenue sur deux tronçons de la Basse Bourne pour réaliser un levé topographique de haute précision.
Ces données permettront de construire un modèle hydraulique 2D détaillé, outil essentiel pour comprendre le fonctionnement du cours d’eau et anticiper ses évolutions.

L’objectif de cette étude est d’évaluer les risques morphoécologiques sur la Basse Bourne, et plus particulièrement les phénomènes de piégeage et d’échouage des poissons susceptibles d’être provoqués par les éclusées de la centrale hydroélectrique située en amont.

Cette approche combinant terrain et modélisation numérique s’inscrit dans une démarche globale de suivi et de préservation des écosystèmes aquatiques. Elle contribuera à proposer des mesures de gestion adaptées pour limiter les impacts hydromorphologiques et assurer la continuité écologique du cours d’eau.

#220 – Un nouveau pas pour la renaturation du Suran

La phase de terrassement sur le Suran est désormais achevée, permettant de redonner au cours d’eau un tracé plus proche de son lit d’origine.

Les bois morts et troncs souches ont ensuite été mis en place afin de favoriser la diversification des écoulements, le piégeage naturel des sédiments et la création de micro-habitats pour la faune aquatique. Ces structures jouent un rôle essentiel dans la restauration.

En parallèle, la mise en œuvre d’une passerelle à bétail est en cours. Elle permettra de canaliser les traversées animales et de limiter le piétinement direct des berges, garantissant ainsi leur stabilité à long terme.

Ce qui nous attend ensuite ? La végétalisation prévue en novembre et décembre 2025 !

Lot 1 terrassement : YM et Tchassagne 

Lot 1 végétalisation et ouvrage bois : Arbre Haie Forêt

Lot 3 passerelle : RTP

#219 – Intervention annuelle sur les bancs de l’Isère en Combe de Savoie

Comme chaque année, notre équipe est intervenue sur une sélection de bancs alluviaux de l’Isère, en Combe de Savoie, peu après la période de hautes eaux 2025.

Cette campagne de levés topographiques vise à suivre l’évolution morphodynamique de ces formations, en particulier les variations d’altitude, de forme et d’emprise des bancs. Elle permet également d’identifier et de quantifier les dépôts de sédiments fins, indicateurs essentiels du fonctionnement sédimentaire du cours d’eau.

#218 – Quand le Rhins se relève à la Tombée

Petit passage dans la Loire pour débuter l’étude de restauration de la continuité écologique au niveau du seuil de la Tombée sur le Rhins.

Au programme : réunion de démarrage et levés topographiques du cours d’eau et du seuil permettant d’alimenter le diagnostic du site et de proposer des solutions adaptées.